LA  DUNE OUEST RECULE  … A QUI D’AVANCER ?

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De 2007 à 2011, la dune ouest est passée entre mer et 8ème avenue de 30 m à 13,60 m.
Sans  défense,  elle recule  d’année en année face à une agression marine qui s’amplifie.
Or elle protège notre parc, ses 250 résidences et ses voies publiques… jusqu’à quand … ? 

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• Première conclusion de la page sur site : Notre front de mer / Suivi des grandes marées  de septembre 2010 à juin 2011 : « Le premier point faible de notre front de mer est la dune ouest entre mer et 8ème  avenue : elle s’est progressivement dégradée d’une grande marée à l’autre. Le recul de cette dune protégeant notre parc est d’autant plus inquiétant qu’elle ne bénéficie d’aucune défense. »

• La  demande de notre dernière Assemblée Générale à M le Maire : « Un adhérent souligne la situation très fragile de ces terrains. La dune a reculé de 4m depuis septembre 2010. A la date de l’Assemblée, la crête  dunaire est à 13,60 m du grillage de la 8ème avenue. M. le Maire répond qu’il s’agit de lots privés, et la loi précise qu’il est de la responsabilité du propriétaire de les protéger. Il encourage le Président à faire une démarche auprès du propriétaire intéressé.

• Notre  courrier à la mairie fin août   exprime une fois encore la vive inquiétude des adhérents vis-à-vis de ce point vulnérable de notre front de mer. Il   rappelle  également  le double rôle attendu des pouvoirs publics en matière de défense contre l’alea d’érosion : la fixation du trait de côte et la protection contre la submersion marine (Plan submersions rapides, Ministère  de l’environnement, février 2011)

• A la mi septembre, nous avons adressé une lettre au  propriétaire de ces parcelles dunaires  lui communiquant nos inquiétudes face au recul rapide de ses terrains et lui demandant ses projets de protection face à la mer.

• Sa réponse rapide nous indiquait sa préoccupation fort ancienne quant à sa propriété menacée par la mer et son intention d’en saisir la municipalité très prochainement.

• Début octobre, nous avons rencontré l’adjoint au maire en charge du littoral.  Devant la répétition des agressions marines  en pied de dune courant septembre, de Ste Anne jusqu’au Parc du Rocher, nous  avons sollicité  une intervention publique sur ces tronçons dunaires particulièrement vulnérables.

• Nos  questions :comment une commune  peut-elle agir quand il y a un risque  public, collectif et susceptible de devenir majeur, à propos d’un terrain privé  non défendu contre la mer  … et de moins en moins défendable …? Quelle instance alerter si personne ne fait rien ? Quelle solution pour sortir de cette impasse … alors que la mer ne cesse de répéter ses attaques ?  

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                                                                                                                                           A suivre … avant que la mer ne nous rattrape !